Spécial : Le sucre, ce poison qui vous aime tant…
Vouloir se libérer su sucre estle thème de ma nouvelle promotion (voir plus bas) et une excellente résolution de ce printemps pour Nourrir sa santé !
Voici ci-après deux articles également publiés sur ma page corporative www.facebook/Nourrir-sa-sante et un autre sur la candidose.
Pour ceux qui veulent se défaire de leur dépendance au sucre, une promotion jusqu’au 15 juin 2016 !
Libérez-vous pour nourrir votre santé !
Trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention (TDAH) et l’effet du fructose
Voici un article très intéressant qui ne peut qu’encourager à diminuer pour ne pas dire bannir le sucre de l’assiette des enfants… et celle des adultes.
Le sucre impacte jusqu’à 20 000 gènes au point de favoriser l’apparition de nombreuses maladies. On connaît celles liées au métabolisme cf diabète, obésité. Mais de plus en plus études parlent désormais du lien avec l’Alzheimer, l’autisme, l’hyperactivité etc.
Le sucre comme le fructose se retrouvant partout et même dans les aliments pour bébé, cuisiner soi-même est un gage de sûreté car vous pouvez choisir chacun des ingrédients. Et les fruits alors ? C’est vrai que le sucre des fruits est le fructose. Toutefois, grâce aux fibres, le fructose ne passe pas de la même façon dans le sang. N’oubliez pas, un fruit c’est naturel ce qui n’est pas le cas d’un sucre issu d’un procédé industriel!
Le cancer et le sucre
Le biologiste allemand Otto Heinrich Warburg a mis en évidence le métabolisme des cellules cancéreuses et leurs dépendances au sucre. Grâce au scanner PET dont on se sert pour détecter le cancer, il est possible de mesurer les régions qui consomment le plus de glucose. Or, une région présentant une consommation excessive de glucose, a de grande chance d’être atteinte d’un cancer.
Cette information est très intéressante puisqu’elle démontre notre rôle et …pouvoir à diminuer, à tout au moins, le risque de cancer. Certes, le sucre est l’élément de base du métabolisme de toute cellule. Même le gras que vous mangez, sera transformé en quelque sorte en glucide absorbable pour être métabolisé par les cellules. Toutefois, l’alimentation nord-américaine et occidentale en générale est bourrée de sucre. Et cela ne fait qu’augmenter depuis que l’on a créé l”angoisse” du gras.
Comment le sucre intervient-il ? Il se trouve que pour absorber le sucre, le corps sécrète de l’insuline qui s’accompagne de la libération d’une molécule appelée Insulin-like growth factor-1 (IGF) qui, à son tour, participerait à la croissance des cellules cancéreuses ainsi qu’à leur invasion sur les tissus voisins. D’autre part, l’IGF augmenterait l’inflammation, un autre facteur qui contribuerait à stimuler la croissance des cellules cancéreuses. Tout un cercle vicieux !
On pourrait ainsi qualifier l’alimentation occidentale de procancer. Les farines blanches, le sirop de maïs élevé en fructose, le pain blanc, le riz instantané, les céréales sucrées, les pâtes trop cuites, les barres tendres, les pouding commerciaux……….. ces aliments déclenchent une production d’insuline élevée en raison de leur index glycémique élevé.
Nourrir sa santé, c’est d’abord faire des choix éclairés à l’épicerie. Un petit conseil pour éviter des aliments hautement nuisibles à bien des égards. Faites le tour du supermarché (légume, fruit, viandes) mais n’entrez pas dans les allées. Elles ne contiennent que des aliments transformés bourrés de sucre !
La candidose, un problème très courants chez mes clients
La prolifération de Candida albicans est le résultat d’un déséquilibre de la flore intestinale. La surconsommation d’antibiotiques et une alimentation trop riche en sucres en sont bien souvent les origines. En effet, une alimentation riche en glucide (sucre) va permettre à cette levure de prospérer voir même devenir dominante dans le microbiote intestinal. Et, comme Candida albicans se nourrit exclusivement de sucre, sa consommation favorise la prolifération de ce champignon aux dépens des autres bactéries.
Les symptômes de cette infection sont extrêmement variés et diffèrent d’une personne à l’autre : fatigue, surtout après les repas, coup de pompe, faiblesse de la mémoire, envie d’aliments sucrés, bouche pâteuse le matin, suée soudaine sans avoir fait d’effort physique, congestion et écoulement nasal, ballonnements et production excessive de gaz, constipation chronique, diarrhée, vaginite, démangeaison rectale, démangeaisons cutanées, acné, fissures cutanées, pellicules, chute de cheveux, douleurs musculaires, allergies en tout genre et pour de plus en plus d’aliments…
Il est souvent difficile de faire le diagnostic de cette maladie car Candida albicans fait partie de la flore intestinale normale. C’est le fait qu’elle devienne dominante qui pose problème. Il existe néanmoins quelques tests cliniques qui permettent de la suspecter.
Que faire ? Le traitement est simple maisassez contraignant. Il faudra agir sur deux plans : d’une part, affaiblir le champignon en le privant de nourriture (cf éliminer les sucres de votre alimentation) ; d’autre part, le combattre en consommant certaines aliments et médicaments antifongiques.
Pour mettre en place d’une telle diète, il est conseiller de sefaire aider. Vous devez conserver une alimentation équilibrée. Mais surtout Candida albicans ne se laisse pas faire. Crise de nettoyage, rage de sucre… voici des réactions normales auxquelles vous pouvez faire face. Se faire expliquer, aider et accompagner est un gage de réussite dans une telle démarche. C’est le rôle d’une nutrithérapeute comme moi et des services de Nourrir sa santé.