Pourquoi nourrir son cerveau ? Choisissez vos aliments

A bunch of red berries and leaves on a white background


Pourquoi nourrir son cerveau ? Et comment choisir vos aliments ?

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Saviez-vous que les neurones (cellules nerveuses de votre cerveau) ont une longévité ”extrême”.. Ils peuvent vivre et fonctionner de manière optimale durant toute la vie d’un individu soit près de 100 ans !

Par contre, les neurones ont perdu la capacité de se diviser (contrairement aux autres cellules du corps) et donc de se reproduire. Cela signifie que s’ils sont détruits (cf un accident cardiovasculaire, un coup à la tête lors d’un sport de contact…), qu’ils sont endommagés (cf une alimentation défaillante, abus de médicaments, de drogues…), qu’ils sont privés de nutriments nécessaires à leur fonctionnement (alimentation pauvre en vitamines et minéraux, acides gras essentiels et protéines, mais riche en graisses saturées et en sucre), ils ne seront pas remplacés.


Exception : l’épithélium olfactif (cellules nerveuses liées aux odeurs) et certaines régions de l’hippocampe qui contiennent des cellules souches jouant un rôle avec l’apprentissage et la mémoire.


Chez l’embryon, c’est 500 000 neurones à la minute qui sont formés les 4 premiers mois de la gestation. Entre zéro et 4 ans, les neurones augmentent de façon considérable.


C’est pourquoi nourrir de manière optimale son cerveau n’est pas une question réservée aux ”grano” et autres fous de l’alimentation mais cela concerne directement tout un chacun au quotidien. Cela explique aussi pourquoi notre alimentation moderne hyper inflammatoire crée de nombreux troubles liés au développement et aux comportements comme l’hyperactivité, le manque de concentration, l’autisme, l’épilepsie, la dépression, les hypersensibilités environnementales… la liste est malheureusement très longue et les enfants sont en première ligne.

Aliments vedettes pour votre cerveau :

La myéline, l’enveloppe composée principalement de lipides servant à protéger les fibres nerveuses,doit disposer de bons gras. Les grasoméga 3 sont une source à privilégier. Ils préviendront un affaiblissement des membranes protectrices des neurones et la déstabilisation de la chimie du cerveau. Les oméga-3 d’origine marine sont beaucoup plus efficaces que ceux d’origine végétale pour la santé du cerveau.

les poissons gras comme le thon, le saumon, la truite, le maquereau et la sardine. À consommer de 2 à 4 fois par semaine.

Les antioxydants jouent plusieurs rôles préventifs enempêchant la formation de radicaux libres (des molécules instables qui affectent nos capacités), ils sont gages d’un cerveau en santé. Les petits fruits sont les champions dans cette catégorie. Bleuets, canneberges,mûres, framboises, fraises sont à mettre au menu régulièrement. Les baies de sureau ou de goji sont elles aussi riches en composantes antioxydantes.

A noter, les légumes de la famille des crucifères comptent parmi les bonnes sources d’antioxydants : chou, brocoli, chou-fleursont àconsommer chaque semaine.

Le fer transporte l’oxygène aux cellules, leur permettant ainsi d’effectuer leur travail correctement. En cas de déficience, faiblesse et fatigue affectent les capacités intellectuelles. Les viandes rouges et les abats sont les meilleures sources de fer aisément assimilable. Toutefois, le soya – tofu ou haricots cuits – est une bonne source végétale de fer. Comme le fer de source végétale est moins assimilable, il est recommandé de prendre au même repas une source de vitamine C (poivron, kiwi, fraises, agrumes, brocoli…).

Bon appétit !

Les antibiotiques, la mort de vos intestins

A person holding their hands up with birds flying above them.


Les antibiotiques, la mort de vos intestins! et ceux de vos enfants.

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Votre intestin est rempli d’une vie incroyable qui pèse plus de 2kg. Il s’agit de bactérie ou aussi appelé flore intestinale.

Il est important de savoir queles bébés reçoivent à leur naissance la flore intestinale de leur maman. Ils sont mis en contact avec elle lors de leur passage dans le canal de naissance. Leurs voies digestives, jusque-là stériles, sont ensemencées. Une mère avec une flore déséquilibrées transmettra de fait celle-ci à son enfant. Il est donc essentiel de prendre soin de sa santé intestin avant et pendant la grossesse. Pour les bébés nés par césarienne, ce sont malheureusement les bactéries du milieu hospitalier qui s’installent, ce qui peut expliquer leur plus grande tendance aux allergies.

Or,dès le plus jeune âge, nos enfants sont aujourd’hui massivement exposés à des traitements par antibiotiques qui déciment leur flore intestinale. Antibiotique signifie contre la vie. De même, « en utilisant un désinfectant, le délicat équilibre bactérien s’effondre. Un grand nombre de micro-organismes meurent, laissant la place à d’autres parfois plus virulents », explique Pascale Hanssens des Hôpitaux Robert Schuman (Luxembourg). C’est malheureusement ce que nous faisons trop souvent, etnous ignorons la gravité des conséquences pour nous :

Une étude américaine parue en juin 2012 dans le Journal of allergy and clinical immunology a montré que les personnes de la communauté Amisch, une population des Etats-Unis qui vit dans des fermes traditionnelles sans sanitaires, sans électricité, sans eau courante et sans antibiotiques, développent dix fois moins d’asthme et de maladies allergiques… et d’autisme.

Plus de 200 maladies liées à des problèmes de flore intestinale ! C’est ce que révèle une synthèse d’études scientifiques*. Voici un aperçu de cette terrible liste :

“¢Des maladies digestives chroniques comme la constipation, la maladie cÅ“liaque, la perméabilité intestinale, le syndrome du côlon irritable, la maladie de Crohn…

“¢Des maladies inflammatoires (y compris les allergies)

“¢Des maladies liées au métabolisme comme le diabète, l’hypertension, l’obésité

“¢Des maladies de la peau comme l’acné, l’eczéma, les dermatites, l’herpès, le psoriasis

“¢Des maladies infectieuses comme les diarrhées, rhume, grippe, gastro, infections au Clostridium difficile ou à H. pylori

ҢDes cancers, en particulier celui du c̫lon

*http://www.greenmedinfo.com/substance/probiotics

Cela met en perspectivel’importance, surtout pendant les traitements aux antibiotiques et autres désinfectants, de veiller à fournir à notre corps de bonnes bactéries, et de tout faire pour en favoriser la réensemencement dans nos intestins.

La nutrithérapie travaille en premier lieu sur la santé digestive et l’équilibre de votre flore pour améliorer votre santé générale.

Substituer un aliment, astuces faciles

A wooden table topped with six different baked goods.


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Comment substituer un aliment quand on a une allergie ou une intolérance alimentaire ?

Voici quelques astuces faciles à faire soi-même qui n’enlèvent rien au plaisir de manger !

LAIT
“¢Boisson de soja enrichie
“¢Boisson de lait de riz enrichie
“¢Lait d’amandes enrichie
“¢Lait de coco enrichie
“¢Jus de fruits (avec modération cela reste du sucre…)

BEURRE
“¢Margarine sans produits laitiers
“¢Huile d’olive
“¢Huile de canola
“¢Huile de coco fondue
et le gras de canard (cela fait d’excellent oeuf au plat ou pomme de terre sautée par exemple)

Å’UFS

Gelée de graines de lin
Ingrédients : 3 T. d’eau, 5 c. à table de graines de lin
Bouillir 20 minutes, filtrer, congeler dans un bac à glaçon pour usage ultérieur. 1 glaçon = 1 Å“uf

Purée de légumes ou de fruits non sucrée
Purée de pommes, poires, bananes, patates douces, courges, citrouille. 1/4 T. = 1 Å“uf

Yogourt nature de lait de vache, de soja ou de lait de coco, crème sure ou tofu mou
1/4 T. = 1 oeuf

Graines de chia
1 c. soupe de graines de chia + 3 c. à soupe d’eau
Laisser reposer quelques minutes afin de faire gonfler le mélange

Vinaigre
Ajouter 2 c. soupe de vinaigre de cidre de pommes à votre lait ou à votre bicarbonate de soude et laisser reposer quelques minutes

YOGOURT
“¢Tofu mou
“¢Crème sure
“¢Yogourt de lait de coco
“¢Yogourt de lait de soja

ARACHIDES
Pour les tartinades ou les sauces :
“¢Beurre de sésame
“¢Beurre de pois
“¢Beurre de tournesol
“¢Beurre de soja
“¢Beurre de noix

Pour le côté croquant
ҢGraines de citrouille r̫ties
“¢Haricots de soja grillés
“¢Pois chiches assaisonnés et cuits au four

MOUTARDE
“¢Raifort
“¢Un mélange de gingembre, curcuma et lime

A vous de jouer !

https://blogue.iga.net/les-aliments-de-substitution-un-jeu…/

Commande de pains et autres délices

A poster with various pastries and cakes on it.


Passez vos commandes de pains, collations et autres petits délices ! Dès maintenant.

Nourrir sa santé sera présent à la Foire du printemps de l’école Saint-Gérard le 28 mai prochain entre 11h et 16h avec une étale de pains, desserts, collations sans gluten, sans lait, bio et hypotoxiques, ainsi que ses recettes pratiques, faciles et rapides.

Mes recettes spécialisées s’adressent aux personnes ayant un régime sans gluten sans lait en raison d’une condition médicale (TSA, TDHA, épilepsie, inflammation chronique, intolérance….). Toutefois, ellespeuvent être mangées par tout le monde, les curieux, les gourmands, les hésitants à se lancer dans l’alimentation hypotoxique… Une monde de découverte.
Aperçu du choix disponible : variété de pains (pain SG classique, pain à la farine de coco ou encore pain à la farine d’amande), biscuit moelleux, brownie, clafouti, madeleine à l’orange, gâteau banane, cake salé, macaron (classique ou coco).

Pour obtenir la liste détaillée (variété/taille/prix et formulaire de commande) et passer votre commande, écrivez-moià [email protected]

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Sucre : articles et promotion

A poster with chains and the words " nous vous chaines du sud ".


 

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Spécial : Le sucre, ce poison qui vous aime tant…

Vouloir se libérer su sucre estle thème de ma nouvelle promotion (voir plus bas) et une excellente résolution de ce printemps pour Nourrir sa santé !

Voici ci-après deux articles également publiés sur ma page corporative www.facebook/Nourrir-sa-sante et un autre sur la candidose.

Pour ceux qui veulent se défaire de leur dépendance au sucre, une promotion jusqu’au 15 juin 2016 !

Libérez-vous pour nourrir votre santé !

 

Trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention (TDAH) et l’effet du fructose
Voici un article très intéressant qui ne peut qu’encourager à diminuer pour ne pas dire bannir le sucre de l’assiette des enfants… et celle des adultes.
Le sucre impacte jusqu’à 20 000 gènes au point de favoriser l’apparition de nombreuses maladies. On connaît celles liées au métabolisme cf diabète, obésité. Mais de plus en plus études parlent désormais du lien avec l’Alzheimer, l’autisme, l’hyperactivité etc.
Le sucre comme le fructose se retrouvant partout et même dans les aliments pour bébé, cuisiner soi-même est un gage de sûreté car vous pouvez choisir chacun des ingrédients. Et les fruits alors ? C’est vrai que le sucre des fruits est le fructose. Toutefois, grâce aux fibres, le fructose ne passe pas de la même façon dans le sang. N’oubliez pas, un fruit c’est naturel ce qui n’est pas le cas d’un sucre issu d’un procédé industriel!

 

Le cancer et le sucre
Le biologiste allemand Otto Heinrich Warburg a mis en évidence le métabolisme des cellules cancéreuses et leurs dépendances au sucre. Grâce au scanner PET dont on se sert pour détecter le cancer, il est possible de mesurer les régions qui consomment le plus de glucose. Or, une région présentant une consommation excessive de glucose, a de grande chance d’être atteinte d’un cancer.

Cette information est très intéressante puisqu’elle démontre notre rôle et pouvoir à diminuer, à tout au moins, le risque de cancer. Certes, le sucre est l’élément de base du métabolisme de toute cellule. Même le gras que vous mangez, sera transformé en quelque sorte en glucide absorbable pour être métabolisé par les cellules. Toutefois, l’alimentation nord-américaine et occidentale en générale est bourrée de sucre. Et cela ne fait qu’augmenter depuis que l’on a créé l”angoisse” du gras.

Comment le sucre intervient-il ? Il se trouve que pour absorber le sucre, le corps sécrète de l’insuline qui s’accompagne de la libération d’une molécule appelée Insulin-like growth factor-1 (IGF) qui, à son tour, participerait à la croissance des cellules cancéreuses ainsi qu’à leur invasion sur les tissus voisins. D’autre part, l’IGF augmenterait l’inflammation, un autre facteur qui contribuerait à stimuler la croissance des cellules cancéreuses. Tout un cercle vicieux !

On pourrait ainsi qualifier l’alimentation occidentale de procancer. Les farines blanches, le sirop de maïs élevé en fructose, le pain blanc, le riz instantané, les céréales sucrées, les pâtes trop cuites, les barres tendres, les pouding commerciaux……….. ces aliments déclenchent une production d’insuline élevée en raison de leur index glycémique élevé.

Nourrir sa santé, c’est d’abord faire des choix éclairés à l’épicerie. Un petit conseil pour éviter des aliments hautement nuisibles à bien des égards. Faites le tour du supermarché (légume, fruit, viandes) mais n’entrez pas dans les allées. Elles ne contiennent que des aliments transformés bourrés de sucre !

La candidose, un problème très courants chez mes clients

La prolifération de Candida albicans est le résultat d’un déséquilibre de la flore intestinale. La surconsommation d’antibiotiques et une alimentation trop riche en sucres en sont bien souvent les origines. En effet, une alimentation riche en glucide (sucre) va permettre à cette levure de prospérer voir même devenir dominante dans le microbiote intestinal. Et, comme Candida albicans se nourrit exclusivement de sucre, sa consommation favorise la prolifération de ce champignon aux dépens des autres bactéries.

Les symptômes de cette infection sont extrêmement variés et diffèrent d’une personne à l’autre : fatigue, surtout après les repas, coup de pompe, faiblesse de la mémoire, envie d’aliments sucrés, bouche pâteuse le matin, suée soudaine sans avoir fait d’effort physique, congestion et écoulement nasal, ballonnements et production excessive de gaz, constipation chronique, diarrhée, vaginite, démangeaison rectale, démangeaisons cutanées, acné, fissures cutanées, pellicules, chute de cheveux, douleurs musculaires, allergies en tout genre et pour de plus en plus d’aliments…

Il est souvent difficile de faire le diagnostic de cette maladie car Candida albicans fait partie de la flore intestinale normale. C’est le fait qu’elle devienne dominante qui pose problème. Il existe néanmoins quelques tests cliniques qui permettent de la suspecter.

Que faire ? Le traitement est simple maisassez contraignant. Il faudra agir sur deux plans : d’une part, affaiblir le champignon en le privant de nourriture (cf éliminer les sucres de votre alimentation) ; d’autre part, le combattre en consommant certaines aliments et médicaments antifongiques.

Pour mettre en place d’une telle diète, il est conseiller de sefaire aider. Vous devez conserver une alimentation équilibrée. Mais surtout Candida albicans ne se laisse pas faire. Crise de nettoyage, rage de sucre… voici des réactions normales auxquelles vous pouvez faire face. Se faire expliquer, aider et accompagner est un gage de réussite dans une telle démarche. C’est le rôle d’une nutrithérapeute comme moi et des services de Nourrir sa santé.

 

La promotion :

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La nutrithérapie ou comment se soigner par l’alimentation

A picture of an avocado with the words " otre therapie chevet ".


Comprendre comment la nutrithérapie pourrait vous aider à vous sentir mieux ?
Il s’agit d’une discipline destinée à optimiser les fonctions de la personne (énergie, mémoire…), à renforcer sa résistance aux agressions (virus, bactéries, pollution, stress…), à prolonger sa durée de vie en bonne santé et à prévenir les maladies aiguës et chroniques (diabète, inflammation chronique…), à augmenter sa capacité à s’autoguérir ou compenser les effets de la maladie.

Pour cela, le thérapeute interrogera l’historique médical de la personne et de sa famille, élaborera un bilan alimentaire, corrigera les habitudes, offrira des conseils alimentaires et d’éventuels suppléments (probiotiques, vitamines et minéraux, acides gras…). Les habitudes de vie et de consommations ainsi que les aliments soigneurs sont les principales ”armes” du nutrithérapeute dans son offre d’intervention.

Cette axe thérapeutique vient d’une longue histoire de la médecine empirique, depuis la Chine antique, Hyppocrate chez les Grecs, Avicennes chez les Arabes, les herboristes indiens ou encore les tradipraticiens actuels. Il s’appuie sur une validation scientifique comme celle du célèbre Dr Willet de Harvard qui a démontré que 80 % de nos maladies viennent de nos assiettes et nos habitudes de vie et peuvent donc facilement être soignées par des changements parfois même mineurs dans ces deux aspects.

Comprendre ce fait, c’est avant tout comprendre que nous avons un rôle direct à jouer et à ce titre que nous pouvons devenir l’acteur de notre santé. Vous avez besoin d’aide ? Votre nutrithérapeute peut vous guider dans votre démarche tous les jeudis et vendredis (438 492 4987 ou [email protected])

Quand le ventre a mal…

A teddy bear sitting on top of a toilet.


Voicitrois articles sur le ventre et ses indispositions. Ils sont parus sur ma page Facebook ce mois-ci.

Ballonné ? Votre ventre crie au secours! Prenez le au sérieux, ce n’est pas un caprice…

Trois principaux facteurs :
“¢ Le stress et le manque d’activité physique
“¢ L’augmentation des polluants (ex. métaux lourds) dans l’air, l’eau et les aliments
“¢ Une nourriture mal supportée par nos intestins, entraînant l’inflammation du tube digestif et de la porosité intestinale

Plus de 200 maladies peuvent être liées à des problèmes de flore intestinale (1) :
“¢ Des maladies digestives chroniques comme la constipation, la maladie cÅ“liaque, la perméabilité intestinale, le syndrome du côlon irritable, la maladie de Crohn
“¢ Des maladies inflammatoires et les allergies
“¢ Des maladies liées au métabolisme comme le diabète, l’hypertension, l’obésité
“¢ Des maladies de la peau comme l’acné, l’eczéma, les dermatites, l’herpès, le psoriasis
“¢ Des maladies infectieuses comme les diarrhées, rhume, grippe, gastro, infections au Clostridium difficile ou à H. pylori
Ң Des cancers, en particulier celui du c̫lon
(1) http://www.greenmedinfo.com/substance/probiotics

Votre grêle, votre première barrière protectrice… Comment l’aider à jouer son rôle ?

Connaissez-vous votre grêle ? En fait, peu de gens le connaissent vraiment. Tout le monde focalise sur le colon dit le gros intestin en raison du cancer du même nom malheureusement très fréquent. Pourtant, bien qu’il soit appelé ”petit intestin”, le rôle du grêle est en fait immense.

Ce long tube qui serpente depuis votre estomac jusqu’à votre colon poursuit la digestion entamée, libère des enzymes comme la lactase et absorbe les nutriments. C’est d’ailleurs grâce à sa longueur que cette étape peut se faire.

Les cellules épithéliales qui tapissent le grêle et par qui l’absorption se fait se renouvellent tous les trois mois. Elles sont très fragiles. Le stress, le sucre, les médicaments, la nourriture piètre qualité comme la Junk Food (et j’en passe) ainsi qu’une mauvaise mastication peuvent les endommager. Les jonctions serrées vont alors s’ouvrir, en bref ou langage ”vulgaire”, votre grêle devient une passoire !

Il cesse de jouer alors un autre rôle très important, celui de barrière, de protection contre les agressions extérieures. Les protéines non digérées ou nuisibles, les virus, les bactéries, les métaux… passent alors dans la circulation sanguine ouvrant ainsi la porte à l’apparition de nombreuses maladies et allergies ou réactions alimentaires (cf article de mercredi sur le ballonnement).

Une hygiène alimentaire est la base de votre santé et passe par celle de votre grêle puisqu’il représente votre première défense immunitaire. Mais parfois, votre système digestif a tellement été endommagé que vous devrez faire plus que reprendre une alimentation saine. Par ailleurs, nous avons tous nos sensibilités alimentaires propres à notre génétique. La transformation et modification (cf hybridations et OGM) d’aliments de base comme le blé, ont rendu ces aliments presque impropres à la consommation pour de nombreuses personnes accentuant ainsi ces sensibilités.

Maintenant comment remettre un grêle en état de fonctionner ?
Le jeune hydrique (tisane, soupe légère, bouillon, jus naturel à la centrifugeuse…) est bien connu comme première étape. Toutefois, ce type de pratique demande un minimum d’encadrement par un professionnel. Un jeune peut notamment déclencher une crise nettoyage qui en impressionne plus d’un et fera vivre des journées difficiles. Par ailleurs, on ne fait de jeune n’importe comment ou n’importe quand.

Ensuite, il faudra mettre en place d’un plan alimentaire adapté à votre condition, profil, environnement (cf travail….) et personnalité et examiner les aides nécessaires pour refaire une santé à votre intestin.

Enfin, quand on a passé des années à choisir la facilité, il n’est pas facile de maintenir de bonnes habitudes. Vous pouvez bien tomber dans la mode des smoothies ou du pouding au chia, si par ailleurs, vous ne maintenez pas une alimentation saine ou nutritive respectueuse de votre grêle, cela ne sert à rien.

Comme chaque personne est unique, consulter n’est pas un luxe, c’est une aide de base pour une démarche de fond. Alors qu’attendez-vous pour remettre votre grêle et votre santé sur les rails ?

La constipation chez l’enfant

Il s’agit d’un problème courant pendant l’enfance malheureusement trop peu prise au sérieux par le corps médical. La constipation pédiatrique est multifactorielle et pas nécessairement attribuable à une pathologie organique. Pourtant la constipation non diagnostiquée ou non traitée peut avoir des lourdes conséquences.

Chez les enfants, elle peut provoquer de graves maux de ventre, une suppression de l’appétit, une incontinence fécale, une baisse de l’estime de soi, un isolement social et une perturbation familiale.

C’est quoi être constipé chez les moins de 4 ans ?
Maximum de deux selles par semaine
Un épisode d’incontinence fécale par semaine
Rétention fécale volontaire excessive
Mouvements intestinaux douloureux ou de selles dures
Selle volumineuse
Selles de gros volume qui peuvent bloquer la toilette
Pour vous aider le vous proposer d’examiner l’échelle de Bristol en pièce jointe Émoticône smile

Que faire ?
Les médecins prescrivent des laxatifs dans le but de rendre les selles molles et éviter le phénomène de stases intestinales. Malheureusement, ces médicaments ont aussi des conséquences : il crée une dépendance et l’intestin n’est pas pour autant soigné puisque cela règle pas la cause. Pour vous donner un aperçu des risques liés aux laxatifs, liez donc les effets secondaires (image jointe). Cela fait froid dans le dos.

Pour une prise adaptée à la condition de l’enfant, il est important de chercher les causes. Comment je m’y prendrais ?

Tout d’abord, parlons ensemble de cette histoire de constipation : son apparition, ses manifestations, l’histoire intestinale de l’enfant, son alimentation, médicament et traitement, la famille et l’environnement….
Abordons aussi une question importante : sa naissance, son allaitement, ses premiers aliments…
Puis, selon les informations données, examinons les possibilités : rétablir une alimentation saine, réduire le sucre, identifier des intolérances et sensibilités alimentaires, rétablir une flore saine… Choisissons aussi des aliments soigneurs. Ils vont apporter une aide significative pour faire gonfler et glisser sans les effets délétères des laxatifs et tout en nourrissant la flore.
Enfin, si l’enfant vit mal sa condition, trouvons des solutions cf jeu, postures… pour dédramatiser et apprivoiser ce moment si important de délivrance qu’est faire caca !

Pour le confort de l’enfant, ne laissez pas la constipation s’installer.

 

Besoin d’aide ? C’est le travail de votre nutrithérapeute. Je suis disponible le jeudi et vendredi aux coordonnées habituelles (438 492 4987 ou [email protected])

Avril, mois de l’autisme et d’un nouveau départ pour votre enfant

A stuffed animal is sitting on top of the floor.


A green background with a white border.

Avril est le mois de l’autisme… et si c’était aussi pour vous l’occasion de découvrir les bienfaits de la diète adaptée à la condition autistique (de type hypotoxique appelée plus exactement DAN et GAPS) ?
Tous les jours, je suis des enfants dont le développement fait des bons de géants. Certains vont même jusqu’à quitter leurs classes spécialisées pour intégrer des groupes standards.
Aussi comment ne pas me sentir une thérapeute comblée quand un papa me raconte, ”hier je suis rentré et mon enfant a couru vers moi pour me faire un bisous spontané de lui-même. Cela n’était jamais arrivé. C’est incroyable. C’est un cadeau merveilleux. Je sais que j’ai fait le bon choix !”.
Devenez ce papa, je suis là pour vous aider.

 

Derniers articles : aliments, poisons et bonnes nouvelles…

A laptop with an open book on the screen.


A green background with a white border.Avez-vous lu les derniers articles de Nourrir sa santé ? Toutes les semaines, c’est plusieurs articles, nouvelles et annonces qui sont publiées sur la pages corporatives Facebook. Pas besoin d’avoir un compte, c’est une page affaires accessible à tout le monde.

P0ur vous mettre le ”goût à la bouche”, voici un aperçu :

  • Toxicité des conserves au Canada
  • le magnésium, un minéral essentiel à la votre santé (une série d’articles sur 4 semaines)
  • Transplantation fécale, enfin disponible à Montréal
  • le sucre, ce poison…
  • la (pseudo) biodisponibilité du lait expliqué
  • des aliments à découvrir et intégrer dans vos habitudes

Pour manger et faire des choix en toute intelligence, Nourrir sa santé votre service de nutrithérapie à Montréal, Laval et Longueuil.